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24 octobre 2018

Eugène Antoine Poussard (1893-1985)

Eugène Poussard, 1913

 

 

Eugène Antoine Poussard

(1893-1985)

 

 

Eugène Poussard, portrait
Eugène Poussard

 

Antoine, Gustave, Gabriel Poussard, surnommé Eugène ou Antoine est né le 27 octobre 1893 à Chalandray, canton de Vouillé, département de la Vienne (86). Il est mort le 29 mars 1985 à Villepinte (Seine-Saint-Denis).

 

acte naissance Eugène Poussard, 1893
acte de naissance d'Eugène Poussard, le 27 octobre 1893

 

À l'âge de 20 ans, lors du recrutement militaire, il était boucher dans la commune de Château-Larcher (Vienne).

Château-Larcher, cpa 1
Château-Larcher (Vienne)

 

Château-Larcher, cpa 2
Château-Larcher (Vienne)

 

Eugène Poussard a effectué plus de quatre années sous les armes.

Mon grand-père maternel a été blessé le 28 février 1915 en Argonne (cote 263) : plaies multiples au nez et à la jambe droite par éclat d'obus ; et blessé le 25 décembre 1916 à Haudiomont (Meuse) par éclat d'obus, fracture à l'humérus, paralysie, radial, séton bras droit.

Il a reçu deux citations :
- citation à l'ordre de la 9e Division en date du 24 février 1915, n° 397 1/D : "Ont par leur sang froid et leur énergie arrêté la progression de l'ennemi dans un élément de tranchée et l'en ont chassé à la baïonnette"
- citation à l'ordre du Régiment n° 209 en date du 29 août 1916 : "Le 29 août 1916, pendant un violent bombardement a contribué par sa belle attitude et son sang-froid à repousser l'ennemi à la grenade. A aussitôt rétabli la liaison interrompue par suite du bombardement avec le reste de la section".

Eugène Antoine Poussard est titulaire de la médaille militaire.

 

20893450

 

Le 21 février 1919, à Varenne-Reuillon (qui en 1972 devient la commune de Varenne-Saint-Germain), il épouse Jeanne Tissier qui avait 17 ans.  Ils ont ont une fille, née le 4 mai 1919 (donc conçue avant le mariage), prénommée Marcelle Claudia Pousssard. Cette petite fille décède le 29 septembre 1919, probablement de la grippe espagnole.

Il n'existe aucun document de l'époque de cet amour ni de cette naissance ni de la mort prématurée de cette petite fille. Plus d'un mois plus tard, Jeanne Tissier, première épouse de mon grand-père maternel, meurt à son tour le 3 novembre 1919 sûrement aussi de la grippe espagnole.

 

Claudia Marcelle Poussard, 1919
actes de naissance et de décès de Marcelle Claudia Poussard en 1919

 

 

 

Le 11 juillet 1921, à Vivonne (Vienne), mon grand-père Eugène Poussard se marie avec Angèle Richard, sa deuxième épouse qui, malade, meurt le 14 mai 1931.

Eugène Poussard connaissait déjà celle qui est devenue sa troisième épouse, Jeanne Nicoullaud, puisqu'il en avait une fille : Marcelle, ma mère, née le 21 septembre 1930 à Paris, bd Port-Royal, n° 123.

Le 5 décembre 1931, à Tremblay-les-Gonesse, il se marie avec Hélène Zélia Adèle Nicoullaud, dite Jeanne (ma grand-mère maternelle), née le 19 avril 1895 à Anché (Vienne).

 

 

Marcelle, ses parents et
Jeanne, épouse Poussard ; Eugène Poussard ; l'enfant est Marcelle Poussard
sur les genoux de Césarine Robert, épouse Nicoullaud ; le 10 mai 1932

 

 

Eugène Poussard, facteur, 1941

 

Eugène Poussard, facteur jpeg
Eugène Poussard, facteur, 1941

 

 

 

 

Eugène et Jeanne Poussard, en 1952

 

Eugène et Jeanne Poussard - 1
Jeanne et Eugène
Poussard, septembre 1952

 

 

 "Pépé Poussard" et sa fille Marcelle

 

Marcelle et son père (1) jpeg copie
fin 1970/début 1980 (?)

 

Mercelle et son père (2) - 1
autre visite de Marcelle à son père, fin 1970/début 1980 (?)

 

 

 

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24 octobre 2018

Jeanne Nicoullaud, épouse Poussard (1895-1971)

Jeanne Poussard, 1952
Jeanne Poussard
en 1952

 

Jeanne Nicoullaud, épouse Poussard

(1895-1971)

 

Hélène Zélia Adèle, dite Jeanne Nicoullaud est née le 19 avril 1895 à Anché (Vienne).

Le 21 septembre 1930 à Paris, bd Port-Royal, n° 123, elle donne naissance à ma mère : Marcelle Eugénie Jeanne. La mère reconnaît l'enfant ; le père étant encore époux d'une femme mourante, Angèle Richard.

Le mariage de Jeanne Nicoullaud et de Eugène Poussard a lieu le 5 décembre 1931.

Jeanne Poussard est morte en 1971. Je me souviens lui avoir souvent écrit et lu ses réponses.

 

 

Jeanne Nicoullaud, épouse Poussard

 

Jeanne Nicoulaud, épouse Poussard, 1941
Jeanne Nicoullaud, épouse Poussard, 1941

 

 

 

les trois filles d'Eugène et de Jeanne Poussard

 

121804243_o
de gauche à droite, Clémentine (Clé), Jeanette, Marcelle

 

 

 

 

 

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23 octobre 2018

Joseph Edme Renard (1874-1915)

Joseph Renard soldat 39e - copie 2

 

 

Joseph Edme Renard (1874-1915)

mort pour la France

 

Mon arrière grand-père avait pour nom Edme Joseph Renard, on l'appelait Joseph. Il était né le 3 janvier 1874 à Montcresson, petite commune du Loiret, et mourut pendant la guerre de 1914-1918. Son propre père, Michel Renard (1842-1913) avait eu deux fils : Joseph et Émile (1877-1942).

Joseph Renard était jardinier. Il s'est marié le 4 septembre 1899 avec Marcelline Beaulieu, née le 22 octobre 1873 à Gy-les-Nonains (Loiret) qui exerçait la profession de couturière et habitait à Saint-Germain-des-Prés, celui du Loiret, pas celui de Paris...

  • En 1899, à la présidence de la République, Émile Loubet avait remplacé Félix Faure mort dans les bras de sa maîtresse. Loubet avait été élu par les partisans de la révision du procès Dreyfus qui divisa la France. Le 23 février, lors des funérailles de Félix Faure, Paul Déroulède et sa "Ligue des patriotes" tentèrent d'entraîner sur l'Elysée l'escorte militaire funéraire, mais la tentative de coup d'État échoua. Dans ce climat de violente agitation nationaliste, Emile Loubet fut agressé au champ de courses d'Auteuil. La tentative de coup d'État et l'agression physique dont il avait été victime poussèrent le président à faire appel à Pierre Waldeck-Rousseau qui forma, le 22 juin 1899, un cabinet de "défense républicaine". Par ailleurs, alors qu'il a été condamné à nouveau par le tribunal militaire, lors du procès de Rennes, le capitaine Dreyfus est grâcié le 19 septembre par Emile Loubet.

Joseph Renard, lui, était domestique jardinier dans une maison bourgeoise. Il avait trouvé du travail à Chitry-les-Mines dans la Nièvre. Chitry, pays de "Poil de carotte", où l'écrivain Jules Renard passa son enfance et dont il fut le maire à partir de 1904... Je ne sais si Jules et Joseph se sont rencontrés... Peut-être... C'est là, sur les bords de l'Yonne, que le 26 octobre 1900 Joseph voit naître son fils René - mon grand-père, mort en 1984.

Joseph fut ensuite employé à Bois-le-Roi (Seine-et-Marne) où René a grandi. Quand, en 1913, le garçon fut reçu au Certificat d'études, Joseph lui offrit une magnifique bicyclette.

 

René Renard et sa bicyclette en 1913
Joseph offre une bicyclette à son fils René
pour son certificat d'études

 

  • À Bois-le-Roi, Joseph travaillait dans un domaine qui s'appelait "Bellerive", propriété du diplomate Léon Noël (1888-1987), alors auditeur au Conseil d'État – il devint premier président du Conseil constitutionnel, nommé par De Gaulle en 1959. Léon Noël adressa un télégramme de condoléances lors du décès de Joseph, la deuxième année de guerre.

 

parcours militaire

Joseph a passé un temps au service militaire (armée d'active) qui a commencé le 16 novembre 1895 et s'est terminé, apparemment en septembre 1898. Il était au 94e régiment d'Infanterie.

Joseph Renard, 94e 5I, 1895 ou 1896
Joseph Renard (dernier rang, 2e à g.) au 94e régiment d'Infanterie, en 1895 ou 1896

 

Joseph Renard, 94e RI, 1895-1896

 

Joseph Renard, fiche matricule (1)

Joseph Renard, fiche matricule (2)
fiche matricule militaire de Joseph Edme Renard

 

À la déclaration de guerre, il est mobilisé et arrive dans son régiment le 3 août 1914. Il s'agit du 39e régiment d'infanterie territoriale. Cette photo doit dater de la fin de l'été ou de l'automne 1914.

 

Joseph Renard, début de la guerre
Joseph Renard, premier assis à gauche, au début de la guerre

 

la mort de Joseph Renard

Mon arrière grand-père trouva la mort le samedi 27 novembre 1915, dans l'éboulement d'une tranchée d'Allencombe (Meurthe-et-Moselle), au cours du bombardement de la position. Quelques jours avant que sa compagnie ne quitte le front pour aller au repos.

À quoi songeait-il ? À qui allaient ses pensées, quand le bruit sourd de l'impact et le fracas des madriers s'abattirent sur lui ? Le jardinier qui s'était appliqué à retourner la terre pour y semer la vie, eut-il le temps de trouver injuste que l'absurdité humaine mît un terme à la sienne en l'abandonnant vivant sous la glaise et le bois déchiqueté ? Combien de minutes resta-t-il à souffrir et comprendre qu'il s'enfonçait dans le noir, seul...?

Son capitaine écrivit à sa veuve, mon arrière-grand-mère Marcelline, que j'ai connue quand elle vivait à Brolles, à côté de Bois-le-Roi, une lettre avant même qu'elle ne fut officiellement prévenue. Son mari n'a donc vécu que 41 ans et, de son côté, après 16 ans de mariage, elle connut un veuvage qui dura 53 ans... puisqu'elle disparut en 1968.

  • En avril 2010, mon père, mon frère, son épouse et moi sommes allés à Allencombe, dans les Vosges (Meurthe-et-Moselle), à la recherche de l'endroit où Joseph avait pu mourir. Sur un canevas des positions de tranchées en 1918, ce secteur était passé sous domination allemande. Les aménagements fortifiés sont donc difficiles à attribuer.

Allencombe, avril 2010 (1)
le secteur des tranchées d'Allencombe, avril 2010

 

Allencombe, avril 2010 (4) - 1
abri bétonné et enterré, à Allencombe, avril 2010 : œuvre française ou allemande ?

 

Allencombe, avril 2010 (2) -
élément de tranchée protégé par des structures de bois ; peut-être fut-ce un endroit similaire
où se trouvait mon arrière grand-père quand le bombardement eut raison de lui...

 

Allencombe, avril 2010 (3), boyau souterrain
entrée d'une espèce de boyau souterrain ; où conduisait-il ? (Allencombe, avril 2010)

 

Allencombe, avril 2010, Michel
à la recherche des derniers instants de vie de mon arrière grand-père, Allencombe, avril 20120

 

Lettre du capitaine de la compagnie du 39e Régiment Territorial auquel appartenait Joseph Renard, à la suite de son décès le 27 novembre 1915

Jeudi 9 décembre 1915 Madame,
Je n'avais pas le droit de vous prévenir officiellement du grand malheur qui vous frappe. Maintenant que vous ne l'ignorez pas, je m'empresse de vous donner tous les renseignements qui pourront vous être de quelque intérêt. Votre mari était un excellent soldat, d'un dévouement à toute épreuve et possédait l'amitié et l'estime de ses camarades et de ses chefs.
Il est tombé au champ d'honneur face à l'ennemi le 27 novembre dernier à 10 heures 30 du matin, lors du bombardement intense de la position occupée par la compagnie.
Il n'a pas été frappé par un obus, mais écrasé par l'éboulement d'un boyau. Quelques minutes après, quand ses camarades l'ont retiré, il avait cessé de vivre. Vous pouvez être certaine que sa mort a été sans souffrance.
Nous lui avons rendu les derniers honneurs le lendemain dimanche, et son corps repose au cimetière militaire de Badonviller. Un cercueil a été fait, sa tombe est numérotée, et vous le retrouverez facilement après la guerre. J'ai fait dire une messe pour le repos de son âme le jeudi 2 décembre et nous y avons tous assisté.
Vous serez prévenue officiellement du décès, et remise vous sera faite ultérieurement d'un petit lot d'effets usagés que le régiment fera parvenir au dépôt.
Je me suis permis de mettre de côté pour vous en faire l'envoi moi-même de certains objets qui sont pour vous des reliques et dont j'aurais craint la perte en les laissant dans le paquet dont je vous parle.
Dans peu de jours, la compagnie ira au repos. Je vous ferai l'envoi : d'un paquet de quelques lettres arrivées également depuis le décès. D'un paquet contenant sa montre, son couteau, son portefeuille et divers objets personnels. Enfin un mandat de cent quatre vingt dix sept francs quinze centimes comprenant les deniers trouvés sur lui, soit : 195 F 40 et le prêt auquel il avait droit du 21 au 27 novembre, soit 1 F 75. Je vous serais reconnaissant de m'accuser réception du tout.
Je vous renouvelle encore tous mes sentiments de condoléance et vous assure, madame, de mon respectueux dévouement.

Maru..avey (??)

Joseph Edme Renard fiche MPLF
fiche Mort pour la France, Joseph Edme Renard (1915)

 

Chitry-les Mines (1)
Chitry-les-Mines, début du XXe siècle

 

Chitry-les Mines (2)
Chitry-les-Mines, début du XXe siècle

 

Chitry-les Mines (3)
Chitry-les-Mines, début du XXe siècle

 

 

23 octobre 2018

Marceline Beaulieu, épouse Renard (1873-1968)

Marcelline Beaulieu Renard, 1951

 

 

Marcelline Beaulieu, épouse Renard

(1873-1968)

 

J'ai connu mon arrière grand-mère paternelle. Née le 22 octobre 1873 à Gy-les-Nonains, dans le Loiret, Marcelline Beaulieu exerçait la profession de couturière et habitait Saint-Germain-des-Prés, celui du Loiret pas celui de Paris...

Elle s'est mariée le 4 novembre 1899 avec Joseph Renard, le jardinier. Ils ont eu un garçon, René Renard, né le 26 octobre 1900 à Chitry-les-Mines, pays de Poil de Carotte (Jules Renard).

Marcelline Renard perdit son époux à la guerre, le 27 novembre 1915 après seize ans de vie commune et connut un veuvage qui dura près de 53 ans puisqu'elle est morte le 7 janvier 1968, là où elle vivait depuis quelques années après son mariage : à Brolles, hameau de Bois-le-Roi (Seine-et-Marne)

Elle était née sous la présidence de Mac-Mahon et est morte sous celle du général de Gaulle, Pompidou étant Premier ministre...

 

Marcelline Beaulieu, Renard, 1951
Marcelline Renard (née Beaulieu) en 1951, entre son petit-fils Daniel ( à g. sur la photo),
son fils René et sa petite-fille Yvette ; elle avait soixante-dix-sept ou soixante-dix-huit ans...

 

perron de Brolles copie
sur le perron de sa maison de Brolles, environ au début des années 1960 : Marcelline entourée
de sa petite-fille Yvette (à g.), d'une amie de la famille, d'Aimée Renard (sa belle-fille), de René, son fils ; et de Marcelle Renard, ma mère

 

 

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22 octobre 2018

Fidèle Parfait Aubry

Fidèle Parfait Aubry, 18 fév 1928

 

 

Fidèle Parfait Aubry

(1877-1939)

 

 

Fidèle Parfait Aubry est né le samedi 10 mars 1877 à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret). Il était cultivateur. Il s'est marié le 27 octobre 1902 à La Ferté-Saint-Aubin avec Marie Plançon. Ils ont eu trois fils (Georges, xxx et xxx) et une fille (Aimée).

Je n'ai évidemment pas connu Fidèle Parfait, mon arrière grand-père, puisqu'il est mort en 1939, année où mon père avait 9 ans. Mais j'ai connu mon arrière grand-mère quand j'étais gamin. Elle parvenait à faire venir sur sa main un petit coq au beau plumage coloré et à le faire chanter...

 

 

l'acte de naissance de Fidèle Parfait Aubry

 

Capture d’écran 2020-04-17 à 12
acte de naissance de Fidèle Parfait Aubry, le 10 mars 1877

 

 

le mariage de Fidèle Parfait Aubry et de Marie Plancon, en 1902

 

acte mariage Fidèle et Marie Aubry, 1902 (1)

acte mariage Fidèle et Marie Aubry, 1902 (2)

 

 

La Ferté-Saint-Aubin, grande rue jpeg
le paysage urbain de La Ferté-Saint-Aubin qu'a pu connaître Fidèle Parfait Aubry
puisque cette image date d'avant 1914

 

Fidèle Parfait Aubry et son épouse, 18 fév 1928
Fidèle Parfait et son épouse Marie Plançon, le 18 février 1928
lors du mariage et leur fille Aimée, à Chaon (Loir-et-Cher)

 

Ferté-Saint-Aubin, cpa 1
La Ferté-Saint-Aubin, Loiret)

 

 

 

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21 octobre 2018

Marie Planson, épouse Aubry

Marie Plançon, 18 fév 1928 jpeg

 

 

 

Marie Planson (ou Plançon), épouse Aubry

(1881-1975)

 

 

Valérie Marie Planson (ou : Plançon) est née le 12 décembre 1881 à Souvigny-en-Sologne, dans le département du Loir-et-Cher. Elle épouse Fidèle Parfait Aubry le 27 octobre 1902 à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret). Elle est morte le 27 février 1975 à La Motte-Beuvron (Loir-et-Cher).

J'ai connu mon arrière grand-mère quand j'étais gamin. Elle parvenait à faire venir sur sa main un petit coq au beau plumage coloré et à le faire chanter...

 

Marie Plançon Aubry, sept 1952 - 1
au milieu, Marie Auby, septembre 1952 ;
à droite Marcelline Renard

 

repas famille à Orléans
repas de famille à Orléans, peut-être en 1960 :
à gauche Marie Aubry (mon arrière grand-mère), puis son fils Georges accompagnée de sa fille 
Daniel Renard, sa sœur Yvette ; René Renard, mon grand-père

 

 

 

 

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20 octobre 2018

Eugène Ernest Poussard (1864-1921)

 

 

 

 

 

Eugène Ernest Poussard

(1864-1921)

 

 

Eugène Ernest Poussard est le père d'Antoine, Gustave, Gabriel Poussard, surnommé Eugène né le 27 octobre 1893 à Chalandray (mon grand-père maternel).

Eugène Ernest Poussard est né le 1er janvier 1864 à La Boissière-Thouarsaise, à côté de Parthenay (Deux-Sèvres). À l'âge du recensement, il était domestique.

Il est mort en 1921.

* La Boissière-Thouarsaise (ou aussi : Petite Boissière) s'appelle Lageon depuis 1896.

 

La petite fille d'Eugène Ernest Poussard (Marcelle, ma propre mère) a laissé ces données suivantes :

 

Eugène Ernest Poussard, note de Marcelle
notes de Marcelle Poussard (épouse Renard) sur son grand-père Eugène Ernest Poussard

 

acte naissance Poussard Eugène Ernest
acte de naissance d'Eugène Ernest Poussard, 1er janvier 1864

 

La Boissière-Thouarsaise, carte d'état-major, 1820-1866
La Boissière-Thouarsaise, carte d'état-major 1820-1866

 

La Boissière-Thouarsaise, église
La Boissière-Thouarsaise, l'église et le bourg

 

fiche matricule Poussard Eugène ERnest
fiche matricule militaire d'Eugène Ernest Poussard, classe 1884

 

 

 

Eugène Poussard à Chalandray (Vienne)

 

Chalandray, recensement 1891
recensement de Chalandray, 1891

 

Chalandray, recensement 1896
recensement de Chalandray, 1896

 

 

 

 

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19 octobre 2018

Rosalie Léculeur, épouse Poussard (1869-1913)

 

 

 

 

 

 

 

Rosalie Léculeur, épouse Poussard

(1869-1913)

 

 

 

Rosalie Léculeur, une grand-mère que ma mère n'a jamais connue, est née le 6 novembre 1869 à Peyratte (Deux-Sèvres).

Elle était la fille la Pierre Léculeur, âgé de 38 ans, journalier, et de Françoise Léonie Mimet, âgée de 34 ans, également journalière ; ce sont des paysans assez pauvres.

Elle a épousé Eugène Ernest Poussard (1864-1929), que je n'ai pas conu mais qui était le père de mon grand-père maternel.

Elle est morte en 1913 à La Peyratte (Deux-Sèvres).

 

 

acte naissance Rosalie Léculeur, 1869
acte de naissance de Rosalie Léculeur, 6 novembre 1869

 

 

 

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18 octobre 2018

Pierre Eugène Nicoullaud (1854-1926)

 

 

 

 

 

 

Pierre Eugène Nicoullaud

(1854-1926)

 

 

Pierre Eugène Nicoullaud, le père de ma grand-mère maternelle, Jeanne Nicoullaud épouse Poussard, est né le 21 mai 1854 à Ceaux-en-Couhé (aujourd'hui Valence-en-Poitou), dans la Vienne (ne pas confondre avec Ceaux-en-Loudun).

Il était enfant de cultivateur. Son père Jean Nicoullaud était âgé de 25 ans et sa mère, Magdeleine Bruneteau, âgée de 27 ans. Ils demeuraient au Pinier, dans la commune de Ceaux-en-Couhé.

À l'âge du recensement, il habitait Anché et était cultivateur. Il a effectué plusieurs années dans l'armée.

Il a épousé Césarine Robert (1865-1950).

Il habitait au moulin de Villenon.

Il est mort en 1926, à l'âge de 72 ans.

 

acte de naissance de Pierre Eugène Nicoullaud, 1854
acte de naissance de Pierre Eugène Nicoullaud, 21 mai 1854 à Ceaux-en-Couhé (Vienne)

 

Ceaux-en-Couhé, carte avec Le Pinier
la famille Nicoullaud habitait au Pinier, commune de Ceaux-en-Couhé

 

Ceaux-en-Couhé, Le Pinier, photo aérienne légendée
emplacement probable (?) duPinier, commune de Ceaux-en-Couhé

 

 

images de Ceaux-en-Couhé, à l'époque où Pierre Eugène Nicoullaud

avait une cinquantaine d'années... mais il n'y habitait plus

 

Ceaux-en-Couhé, grande rue jpeg
Ceaux-en-Couhé, grande rue, au début du XXe siècle

 

Ceaux-en-Couhé, rue du Mystère (1)
Ceaux-en-Couhé, escaliers de la rue du Mystère au début du XXe siècle

 

Ceaux-en-Couhé, rue du Mystère (2)
Ceaux-en-Couhé, escaliers de la rue du Mystère au début du XXe siècle

 

Ceaux-en-Couhé, femmes du pays
Ceaux-en-Couhé, femmes du pays, au début du XXe siècle

 

 

images d'Anché : Pierre Eugène Nicoullaud y habitait à l'âge de 18 ans.

 

Anché, vue générale
la commune d'Anché oû habitait la famille Nicoullaud en 1872 (recensement)

 

Anché, le pont sur le Clain
Anché, le pont sur la Clain

 

Le recensement de 1872 de la commune d'Anché (Vienne) permet d'y retrouver la famille Nicoullaud. Elle est composée du père, Jean, âgé de 4 ans ; de son épouse, Madeleine, 45 ans ; d'un fils aîné, Auguste, 20 ans ; du fils cadet (Pierre) Eugène, 17 ans ; et de trois filles : Madeleine (15 ans), Clémentine (12 ans) et Adèle (10 ans).

 

Anché, recensement 1872
extrait du recensement d'Anché en 1872

 

carte Anché et Villenon (1)
Anché, département de la Vienne

 

carte Anché et Villenon (2)
Anché, département de la Vienne

 

Moulin de Villenon, carte légendée jpeg
à côté d'Anché (Vienne), Voulon et le moulin de Villenon

 

m_86_02a
le moulin de Villenon

 

carte Anché et Villenon (1)
Anché, département de la Vienne

 

 

fiche matricule militaire de Pierre Eugène Nicoullaud (1874)

 

Nicoullaud Pierre Eugène, fiche matricule (1)

Nicoullaud Pierre Eugène, fiche matricule (2)
cliquer sur l'image pour l'agrandir

 

Pierre Eugène Nicoullaud est parti pour le 91e régiment d'infanterie le 21 octobre 1875, il avait 21 ans. Il y arrive le lendemain, cette unité étant basée à Mézières (Charleville).

Il est passé ensuite au régiment des sapeurs-pompiers de Paris le 8 novembre 1876. Le lendemain, il est nommé caporal.

Il ne revient chez lui que le 18 août 1879.

 

91e RI, vers 1900, 1910 jpeg
une compagnie du 91e régiment, vers 1900/1910 ; une trentaine d'années après le passage de Nicoullaud...

 

 

 

 

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17 octobre 2018

Césarine Robert, épouse Nicoullaud (1865-1950)

Ce_sarine_Robert_e_pouse_Nicoullaud__1865_1950
Césarine Robert, épouse Nicoullaud, au moulin de Villenon à Voulon

 

 

Césarine Robert, épouse Nicoullaud

(1865-1950)

 

 

Césarine Robert est née en 1865 et elle est morte en 1950.

Elle est la fille de l'instituteur Charles Robert (1822-1875) et de Marie Bruneteau (1823-ap. 1880).

Elle a épousé Pierre Eugène Nicoullaud (1854-1926).

Elle fut la grand-mère de ma propre mère par l'intermédiaire de sa fille Jeanne Nicoullaud (1895-1971), ma grand-mère.

 

 

Marcelle, ses parents et
de gauche à droite : Jeanne Nicoullaud, épouse Poussard ; Eugène Poussard ;
Marcelle Poussard (née en septembre 1930) sur les genoux de sa grand-mère
Césarine Robert, épouse Nicoullaud (1865-1950).

 

Césarine Robert et Marcelle jpeg
Césarine Robert, en 1931 (?)

 

Ce_sarine_Robert_e_pouse_Nicoullaud__1865_1950
Césarine Robert, épouse Nicoullaud, au moulin de Villenon à Voulon

 

route du moulin de Villenon (1)
moulin de Villenon à Voulon

 

route du moulin de Villenon (2)
moulin de Villenon à Voulon

 

route du moulin de Villenon (3)
moulin de Villenon à Voulon

 

 

 

 

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